The genocide agenda: cull the disabled first just like the Nazis did / Le programme de génocide : éliminer d’abord les handicapés, comme l’ont fait les nazis / Die Völkermord-Agenda: Behinderte zuerst ausmerzen, wie es die Nazis taten

Do Not Resuscitate’ scandal led to Disabled People accounting for 3 in 5 Covid deaths according to ONS figures


We told you back in February how the Care Quality Commission (CQC) had found that thirty-four-percent of people working in health and social care were pressured into placing ‘do not attempt cardiopulmonary resuscitation’ (DNACPR) orders on Covid patients who suffered from disabilities and learning difficulties, without involving the patient or their families in the decision.

Well today we can confirm this scandal led to disabled people accounting for 3 in every 5 Covid deaths according to ONS figures.

The CQC was commissioned by the Department for Health and Social Care, under section 48 of the Health and Social Care Act 2008, to conduct a special review of Do Not Attempt Cardiopulmonary Resuscitation (DNACPR) decisions taken during the COVID-19 pandemic (full report can be found here).

The investigation was carried out due to concerns around the blanket application of DNACPR decisions, including applying them to groups of people rather than on an assessment of each individual, and due to reports of these decisions being made without involving the person concerned.

The CQC found upon their investigation that almost 10% of people using services or their families had experienced pressure or use of DNACPR orders. They also found that thirty-four per cent of people working in health and/or social care said they were under pressure to put DNACPR’s in place without involving the person.

There were also examples from feedback to the CQC where care had not been provided to the person with a DNACPR in place – for example, a care home not calling an ambulance straight away, a delay in calling doctors, or someone who felt pressured to agree to an advance COVID-19 care plan that stated that they would stay at home without treatment if they contracted COVID-19.

With atrocious policies like this in place is it any surprise to find that of the 50,888 alleged Covid deaths that occurred between January and November 2020, 30,296 were people who had a disability?

According to the ONS the risk of death involving Covid-19 was 3.1 times greater for disabled men that what it was for non-disabled men. But the statistics are even worse for women with the risk of death involving Covid-19 being 3.5 times greater for disabled women than what it was for non-disabled women.


But it gets worse – the ONS have concluded that the risk of death involving Covid-19 was 3.7 times greater for both men and women with learning disabilities compared with men and women who did not have a learning disability.


The ONS state in their summary in relation to deaths of disabled people that – ‘no single factor explains the considerably raised risk of death involving COVID-19 among disabled people‘.

But in relation to deaths of people with learning difficulties the ONS said – the largest effect was associated with living in a care home or other communal establishment.

There it is, in black and white – the largest effect was living in a care home. Care homes in which the Care Quality Commission found that 34% of staff were pressured to place do not resuscitate orders on people with learning difficulties without informing the person or their family.

Care homes in which the Care Quality Commission found care had not been provided to people with learning difficulties which included not calling an ambulance straight away, and delaying calling a doctor.

If this isn’t murder on a mass scale then we don’t know what is. This should be on the front page of every newspaper but instead it has been brushed under the carpet.

It’s a national disgrace!

Selon les chiffres de l’ONS, le scandale de la non-réanimation a conduit à ce que les personnes handicapées soient responsables de 3 décès sur 5 dans le cadre du programme Covid.
PAR THE DAILY EXPOSE LE 1ER AVRIL 2021
Nous vous avons raconté en février comment la Care Quality Commission (CQC) avait découvert que 34 % des personnes travaillant dans le secteur de la santé et de l’aide sociale avaient été poussées à placer des ordonnances de non-réanimation cardio-pulmonaire (DNACPR) sur des patients Covid souffrant de handicaps et de difficultés d’apprentissage, sans impliquer le patient ou sa famille dans la décision.
Aujourd’hui, nous pouvons confirmer que ce scandale a conduit à ce que les personnes handicapées représentent 3 décès sur 5 dans le cadre du programme Covid, selon les chiffres de l’ONS.
Le CQC a été chargé par le ministère de la Santé et des Soins sociaux, en vertu de l’article 48 de la loi de 2008 sur la santé et les soins sociaux, de procéder à un examen spécial des décisions de non-réanimation cardio-pulmonaire (DNACPR) prises pendant la pandémie de COVID-19 (le rapport complet est disponible ici).
L’enquête a été menée en raison de préoccupations concernant l’application générale des décisions DNACPR, y compris leur application à des groupes de personnes plutôt que sur la base d’une évaluation de chaque individu, et en raison de rapports selon lesquels ces décisions étaient prises sans impliquer la personne concernée.
Le CQC a constaté, lors de son enquête, que près de 10 % des personnes utilisant les services ou leurs familles avaient subi des pressions ou avaient eu recours à des ordonnances DNACPR. Il a également constaté que 34 % des personnes travaillant dans le secteur de la santé et/ou des soins sociaux ont déclaré avoir subi des pressions pour mettre en place des DNACPR sans impliquer la personne concernée.
Le CQC a également reçu des exemples de cas où des soins n’ont pas été prodigués à une personne ayant reçu un DNACPR – par exemple, une maison de soins qui n’a pas appelé immédiatement une ambulance, un retard dans l’appel des médecins, ou une personne qui s’est sentie poussée à accepter un plan de soins anticipé de la COVID-19 qui stipulait qu’elle resterait à la maison sans traitement si elle contractait la COVID-19.
Avec de telles politiques atroces en place, est-il surprenant de constater que sur les 50 888 décès présumés liés au Covid et survenus entre janvier et novembre 2020, 30 296 étaient des personnes handicapées ?
Selon l’ONS, le risque de décès lié au Covid-19 est 3,1 fois plus élevé pour les hommes handicapés que pour les hommes non handicapés. Mais les statistiques sont encore pires pour les femmes, le risque de décès lié au Covid-19 étant 3,5 fois plus élevé pour les femmes handicapées que pour les femmes non handicapées.
Mais il y a pire – l’ONS a conclu que le risque de décès lié au Covid-19 était 3,7 fois plus élevé pour les hommes et les femmes [handicapes] que pour les hommes et les femmes qui [ne le sont] pas.
L’ONS déclare dans son résumé concernant les décès de personnes handicapées que “aucun facteur unique n’explique le risque considérablement accru de décès lié au COVID-19 chez les personnes handicapées”.
Mais en ce qui concerne les décès de personnes ayant des difficultés d’apprentissage, l’ONS déclare que “l’effet le plus important est associé au fait de vivre dans une maison de soins ou un autre établissement collectif“.
Voilà, c’est écrit noir sur blanc : l’effet le plus important était le fait de vivre dans une maison de soins. Foyers de soins dans lesquels la Care Quality Commission a constaté que 34 % du personnel était poussé à ordonner de ne pas réanimer les personnes ayant des difficultés d’apprentissage sans en informer la personne ou sa famille.
Des maisons de soins dans lesquelles la Care Quality Commission a constaté que des soins n’avaient pas été prodigués à des personnes ayant des difficultés d’apprentissage, notamment en n’appelant pas immédiatement une ambulance et en retardant l’appel d’un médecin.
Si ce n’est pas un meurtre à grande échelle, nous ne savons pas ce que c’est. Cette affaire devrait faire la une de tous les journaux, mais au lieu de cela, elle a été balayée sous le tapis.
C’est une honte nationale !
Der “Nicht reanimieren”-Skandal führte dazu, dass laut ONS-Zahlen 3 von 5 Covid-Todesfällen auf behinderte Menschen entfallen
VON THE DAILY EXPOSE AM 1. APRIL 2021
Im Februar haben wir Ihnen berichtet, dass die Care Quality Commission (CQC) herausgefunden hat, dass 34 Prozent der Mitarbeiter im Gesundheits- und Sozialwesen unter Druck gesetzt wurden, bei Covid-Patienten, die an Behinderungen und Lernschwierigkeiten litten, die Anweisung zu geben, keine Herz-Lungen-Wiederbelebung zu versuchen” (DNACPR – Nicht reanimieren), ohne den Patienten oder seine Familie in die Entscheidung einzubeziehen.
Nun, heute können wir bestätigen, dass dieser Skandal dazu führte, dass laut ONS-Zahlen 3 von 5 Covid-Todesfällen auf behinderte Menschen entfielen.
Das CQC wurde vom Ministerium für Gesundheit und Soziales unter Abschnitt 48 des Health and Social Care Act 2008 beauftragt, eine Sonderuntersuchung der Do Not Attempt Cardiopulmonary Resuscitation (DNACPR- Nicht reanimieren)-Entscheidungen durchzuführen, die während der COVID-19-Pandemie getroffen wurden (den vollständigen Bericht finden Sie hier).
Die Untersuchung wurde aufgrund von Bedenken bezüglich der pauschalen Anwendung von DNACPR-Entscheidungen durchgeführt, einschließlich der Anwendung auf Gruppen von Menschen anstatt auf der Grundlage einer Beurteilung jedes Einzelnen, und aufgrund von Berichten über diese Entscheidungen, die ohne Einbeziehung der betroffenen Person getroffen wurden.
Die CQC stellte bei ihrer Untersuchung fest, dass fast 10 % der Menschen, die Dienstleistungen in Anspruch nehmen, oder deren Familien Druck oder die Anwendung von DNACPR-Anordnungen erlebt hatten. Sie fanden auch heraus, dass vierunddreißig Prozent der Menschen, die im Gesundheits- und/oder Sozialwesen arbeiten, sagten, dass sie unter Druck gesetzt wurden, DNACPR-Anordnungen zu treffen, ohne die betroffene Person einzubeziehen.
Es gab auch Beispiele aus Rückmeldungen an die CQC, in denen die Person nicht versorgt wurde, obwohl eine DNACPR vorhanden war – zum Beispiel, wenn ein Pflegeheim nicht sofort einen Krankenwagen rief, wenn sich der Anruf bei den Ärzten verzögerte oder wenn sich jemand unter Druck gesetzt fühlte, einem COVID-19-Pflegeplan zuzustimmen, der besagte, dass er ohne Behandlung zu Hause bleiben würde, wenn er an COVID-19 erkrankt.
Ist es bei solch einer grausamen Politik verwunderlich, dass von den 50.888 angeblichen Covid-Todesfällen, die zwischen Januar und November 2020 auftraten, 30.296 Menschen waren, die eine Behinderung hatten?
Laut ONS war das Risiko, an Covid-19 zu sterben, für behinderte Männer 3,1 Mal höher als für nicht behinderte Männer. Für Frauen ist die Statistik sogar noch schlimmer: Das Risiko, an Covid-19 zu sterben, ist für behinderte Frauen 3,5-mal höher als für nicht behinderte Frauen.
Aber es kommt noch schlimmer – das ONS kam zu dem Schluss, dass das Risiko, an Covid-19 zu sterben, sowohl für Männer als auch für Frauen mit Lernbehinderung 3,7-mal höher war als für Männer und Frauen ohne Lernbehinderung.
Die ONS stellen in ihrer Zusammenfassung in Bezug auf Todesfälle von Menschen mit Behinderung fest, dass – “kein einzelner Faktor das beträchtlich erhöhte Risiko eines Todes durch COVID-19 bei Menschen mit Behinderung erklärt”.
Aber in Bezug auf Todesfälle von Menschen mit Lernschwierigkeiten sagte das ONS – “der größte Effekt wurde mit dem Leben in einem Pflegeheim oder einer anderen Gemeinschaftseinrichtung in Verbindung gebracht.
Da steht es schwarz auf weiß – der größte Effekt war das Leben in einem Pflegeheim. Pflegeheime, in denen die Care Quality Commission feststellte, dass 34% des Personals unter Druck gesetzt wurden, Menschen mit Lernschwierigkeiten nicht wiederzubeleben, ohne die Person oder ihre Familie zu informieren.
Pflegeheime, in denen die Care Quality Commission feststellte, dass Menschen mit Lernschwierigkeiten nicht versorgt wurden, was u.a. dazu führte, dass nicht sofort ein Krankenwagen gerufen wurde und der Anruf eines Arztes verzögert wurde.
Wenn das nicht Mord im großen Stil ist, dann wissen wir nicht, was es ist. Dies sollte auf der Titelseite jeder Zeitung stehen, aber stattdessen wurde es unter den Teppich gekehrt.
Es ist eine nationale Schande!
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